Un poème
...
Dada ne parle pas, dada n’a pas d’idée fixe, dada n’attrape pas les mouches.
Dada est tatou. Tout est dada. Méfiez-vous de dada.
L’émotion indisciplinée enrichit la conscience.
Il n’y a d’indispensable que les choses inutiles.
Il faut remettre une fois par an son avenir en jeu.
Plus on plaît, plus on déplaît.
On ne mordra jamais assez dans son propre cerveau.
Ceux qui parlent derrière moi, mon cul les contemple.
Il y a une chose presque absolue, c’est le libre arbitre.
La sagesse n’est qu’un gros nuage sur l’horizon.
Le luxe n’est pas un plaisir mais le plaisir un luxe.
Il n’y a rien de plus agréable que de dérouter les gens.
Les hommes gagnent des diplômes et perdent leur instinct.
Le beau est relatif à l’intérêt qu’il crée.
Dada met une douceur artificielle sur les choses, une neige de papillons sortis du crâne d’un prestidigitateur.
MERCI DADA !
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Dada ne parle pas, dada n’a pas d’idée fixe, dada n’attrape pas les mouches.
Dada est tatou. Tout est dada. Méfiez-vous de dada.
L’émotion indisciplinée enrichit la conscience.
Il n’y a d’indispensable que les choses inutiles.
Il faut remettre une fois par an son avenir en jeu.
Plus on plaît, plus on déplaît.
On ne mordra jamais assez dans son propre cerveau.
Ceux qui parlent derrière moi, mon cul les contemple.
Il y a une chose presque absolue, c’est le libre arbitre.
La sagesse n’est qu’un gros nuage sur l’horizon.
Le luxe n’est pas un plaisir mais le plaisir un luxe.
Il n’y a rien de plus agréable que de dérouter les gens.
Les hommes gagnent des diplômes et perdent leur instinct.
Le beau est relatif à l’intérêt qu’il crée.
Dada met une douceur artificielle sur les choses, une neige de papillons sortis du crâne d’un prestidigitateur.
MERCI DADA !